Distribution of Polyploid Variation in Big Bluestem (Andropogon gerardii, Poaceae) across the Tallgrass Prairie Region

Authors

Kathleen H. Keeler, University of Nebraska-LincolnFollow

Date of this Version

2-1990

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Article

Citation

Genome (February 1990) 33(1): 95–100

doi: 10.1139/g90-015

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Copyright 1990, Canadian Science Publishing. Used by permission

Abstract

The objective of this research was to describe the distribution of polyploid cytotypes of the grass big bluestem (Andropogon gerardii Vitman) along an east-west transect across the tallgrass prairie region, as an integral part of understanding the function of intraspecific polyploid polymorphism. Andropogon gerardii shows intraspecific variation in amount of nuclear DNA as a result of intraspecific poly-ploidy. Nearly 600 plants from 15 prairies in 5 states were collected and nuclear DNA was determined by flow cytometry. In the eastern part of the tallgrass prairie region, higher polyploids were rarely found. However, at the western edge of the tallgrass prairie, west of the Missouri River, plants with high nuclear DNA values comprised about half of the plants sampled and in one native prairie formed 82% of the population. Although big bluestem is historically the dominant grass throughout this region, it is extremely variable only on the western extreme of region.

Cette recherche a visé à decrire la distribution des cytotypes polyploïdes d’une graminée, le Barbon de Gerard (Andropogon gerardii Vit-man), le long d’un transect est-ouest des graminées elevees de la région des prairies, comme partie intégrante d’une comprehension de la fonction du polymorphisme polyploïde intraspécifique. L’Andropogon gerardii présente une variation intraspécifique de la quantité d’ADN, qui résulte d’une polyploïdie intraspécifique. Près de 600 plantes ont été prélevées dans 15 prairies de 5 ètats et ont été soumises à une détermination de l’ADN par flux cytométrique. Dans la section est du transect, les Barbons hautement polyploïdes ont été rares. Du côté ouest, soil à l’ouest de la rivière Missouri, les plantes possédant des valeurs d’ADN nucléaire élevées ont constitué environ la moitié des échantillons et, dans une prairie indigène, 82% de la population. Bien que, sur un plan historique, le Barbon ait été la graminée dominante dans toute la région, cette espèce n’est extrêmement variable qu’aux confins occidentaux de cette région qu’elle domine.