Papers in the Biological Sciences
Date of this Version
1982
Abstract
A review of records of intrafamilial hybridization in the Tetraonidae indicates that at least half of the potential natural hybrid combinations that could occur in this family on the basis of known distribution patterns actually have been reported at least once. These include 15 interspecific hybridization combinations that involve 12 species and all of the genera currently recognized by taxonomists. The three most commonly reported hybrid combinations all involve lek-forming species of grouse as parental types, while the remaining 12 combinations are all considerably rarer and involve lek-forming parental species in 7 cases, promiscuous but solitary species in 6 cases, and monogamous species in 11 cases. The results suggest that monogamous grouse species are only slightly less prone to hybridization than are the non-monogamous forms, and that in all grouse species habitat separation is probably a major isolating mechanism.
Zusammenfassung — Es wird über verschiedene Inzuchtkombinationen berichtet und dass monogam lebende Rauhfusshuhnarten weniger geneigt sind zur Inzucht als nieht monogam lebende. Bei allen Schneehuhnarten ist die Isolierung von Lebensraumen eine grosse Gefahr für das Fortbestehen einer Art.
Résumé — En examinant les archives de l’hybridation interfamiliale chez les Tétraonidés l’on constate qu’au moins la moitié des combinaisons potentielles naturelles des hybrides de cette famille, sur base de la répartition connue, ont été notées au moins une fois. Ceci comprend 15 combinaisons d’hybrides concernant 12 espèces et tous les genres généralement reconnus par les taxonomistes Les trois combinaisons d'hybrides le plus notées comprennent toutes des espèces “lek-forming” de Tétraonidés comme type de parents alors que les 12 combinaisons restant sont toutes nettement plus rares et concernent dans sept cas des parents des espèces "lek-forming”, des espèces mêlées mais solitaires dans six cas et des espèces monogames dans onze cas. Des résultats acquis on peut déduire que les espèces monogames de Tétraonidés ne sont que légèrement moins enclines à l'hybridation que les formes non-monogames et que pour toutes les espèces de Tétraonidés la séparation des habitats est probablement un mécanisme majeur pour l'isolement.
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Published in World Pheasant Association Journal VII (1982), pp. 42-57.