Plant Pathology Department

 

ORCID IDs

Amauri Bogo 0000-0002-2766-2042

Date of this Version

2018

Citation

Published in Canadian Journal of Plant Pathology, 2018

doi 10.1080/07060661.2017.1421588

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Copyright © 2018 The Canadian Phytopathological Society. Published by Taylor & Francis. Used by permission.

Abstract

The causal agents of apple bull’s-eye rot in southern Brazil have recently been described as Neofabraea actinidiae and N. brasiliensis. Isolates of both species were evaluated for response of mycelial growth index (MGI) to different temperatures, enzyme production, mycelial growth inhibition and effective concentrations (EC50 and EC100) of the fungicides triflumizole, pyrimethanil and thiophanate methyl, as well as aggressiveness on fruits of ‘Fuji’ hybrid and ‘Pink Lady’. There was significantly lower mycelium growth in N. brasiliensis compared with N. actinidiae at all temperatures tested. Neither species grew at 3 and 32°C. There were minor differences in production of enzymes in the two species, with all N. brasiliensis isolates showing no production of pectolyase at pH 7. The lowest EC50 and EC100 values were observed with thiophanate methyl. In general, ‘Fuji’ fruits were more susceptible to Neofabraea infection and had larger lesions, while N. brasiliensis isolates showed greater aggressiveness on ‘Fuji’ hybrid and ‘Pink lady’ fruits compared with N. actinidiae.

Dans le sud du Brésil, les agents causaux du chancre gloésporien de la pomme ont récemment été décrits comme étant Neofabraea actinidiae et N. brasiliensis. Des isolats des deux espèces ont été évalués en fonction de la réaction de l’indice de croissance mycélienne à différentes températures, de la production enzymatique, de l’inhibition de la croissance mycélienne et des concentrations efficaces (CE50 et CE100) des fongicides triflumizole, pyriméthanil et triophanate méthyle, ainsi qu’en fonction de leur agressivité à l’égard de la pomme hybride Fuji et de la Pink Lady. La croissance mycélienne chez N. brasiliensis était considérablement plus faible que chez N. actinidiae, et ce, à toutes les températures testées. Aucune espèce ne s’est développée à 3 ou à 32°C. Chez les deux espèces, il y a eu de petites différences quant à la production enzymatique, tous les isolats de N. brasiliensis n’affichant aucune production de pectolyase à pH 7. Les plus faibles valeurs de CE50 et de CE100 observées ont été celles du triophanate méthyle. Dans l’ensemble, les Fuji étaient plus sujettes à l’infection causée par Neofabraea et affichaient des lésions plus étendues, tandis que les isolats de N. brasiliensis étaient plus agressifs à l’égard de l’hybride Fuji et de la Pink Lady que ceux de N. actinidiae.

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